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Legion of the Dead

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 Projet écriture post apo

Samuel Bennett
Samuel Bennett
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Cavalier Z
 Projet écriture post apo EmptyMar 19 Sep - 14:32
Cavalier Z
Inspiré du forum et de d'autres oeuvres :


Apocalypse

Chapitre 1 :

Les gens autour s’écartèrent effrayer. Il n’y avait pas de panique pour le moment, mais la scène restait inquiétante. Dans la précipitation parfois, certains heurtaient les rayons ou manquaient de choir au sol à cause d’un panier laisser la. La raison de cette perturbation, un homme visiblement énerver. Les yeux injectés de sang, de l’écume à la bouche, il semblait vouloir s’en prendre à n’importe qui. Samuel, le vigil, se tenait entre lui et le reste des clients, essayant de calmer ce premier.

-S’il vous plait monsieur, je vous redemande de vous calmer ok ?

Combien de fois lui a-t-il dit cela ? A chaque fois la réponse était la même, l’individu poussait un hurlement comme si on venait de lui marcher sur le pied et tenta de se jeter sur Sam. L’agent de sécurité arrivait à le garder à distance, mais devait reconnaitre que la force de ce client enragé, décuplait à chaque tentative. Il était surtout effrayer en voyant le visage, ces yeux rouges sang, ses veines bleue qui sortaient. Il essaya tant bien que mal de le maitriser, mais autant calmer un tigre avec une tapette à mouche.

L’individu repoussa Sam contre un des rayons sous les cris de surprise des clients et de quelques employés du supermarché, tous regardant ce duel sans rien faire d’autre. Samuel sentit le coup dans son dos et ses épaules, mais tenait bon, c’était un garçon solide après tout non ? Comprenant que le dialogue n’allait rien donner, il allait devoir neutraliser ce client. Il prit appui sur le rayon derrière lui, pour pousser à son tour l’homme en arrière. Il arriva à le faire reculer de quelques mètres, mais l’enragé se mobilisa comme s’il se plantait dans le sol avec ses pieds, et essayait de mordre Samuel, en secouant sa tête dans tous les sens pour essayer de toucher ses avant bras nu. Comprenant ce qu’il essayait de faire, le vigil fit tout son possible pour ne pas le laisser faire.
C’est alors qu’il tenta un croche patte, plaçant sa jambe derrière celle du fou afin de le faire trébucher. Le client s’écroula lourdement au sol, écraser par le poids de Sam qui s’appuya sur ses épaules et sa poitrine. Retournant le « malade », le vigil sortit un paire de lien qu’il s’empressa de mettre autour des poignets.

-Maintenant on va se calmer ! Et venir s’expliquer ailleurs d’accord !

Le client continuait de répondre que par des grognements quasi animal, s’agitant comme un poisson hors de l’eau, mais n’arrivant plus à attraper l’agent de sécurité.

-Sam ! Cria un employé. On a prévenu les autorités, ils sont déjà en chemin !
-Ok parfait Noah ! Je l’embarque à l’arrière le temps qu’ils…

Des bruits de crissements raisonnaient devant le magasin sur le parking. Quelque chose attirait l’attention des gens près des caisses. Qu’est ce qu’il se passait ? D’un coup, les nombreux clients se tenant près de l’entrée s’écartaient comme si un troupeau d’animaux arrivait comme dans le film Jumanji. Mais au lieu de voir lions, rhinocéros, girafes et éléphants, c’étaient des hommes lourdement armées vêtu comme des soldats en pleine interventions qui entraient, armes en mains. Ils envahirent le magasin et encerclèrent Samuel et le client énervé. Le jeune homme était surprit par tout ce déploiement apparu d’un coup.

-Sécurité national écartez-vous !
-C’est bon je l’ai neutraliser, il a juste…
-Ecartez vous immédiatement !

Sam n’eut même pas deux secondes pour réagir qu’il sentit une force le tirer en arrière et qu’un coup violent le foudroya sur la tempe, quelque chose d’assez puissant pour le plonger dans le noir.


*****

Le téléphone sonne. D’un geste machinal, une main se levait du lit pour éteindre sans ménagement l’alarme insupportable. Sam se leva péniblement de son lit, baillant fortement. Le soleil filtrait à peine à travers les stores, signe qu’il était encore tôt en plus de l’heure indiqué sur son réveil, 5h30. Mais ce n’était pas se lever de si bonne heure qui le dérangeait, Samuel avait mal dormi, encore un sommeil agité. On lui disait que des vacances lui ferait le plus grand bien, mais il préférait s’occuper dans le travail et les tâches quotidienne. S’extirpant de son lit, il se balada en caleçon court et t-shirt à la salle de bain. Une petite douche pour se remettre d’aplomb. Un instant devant le miroir, il en profita pour s’admirer.

Un trentenaire, de type caucasien, la tête plutôt carré. Les cheveux châtains court coiffé d’une petite quiff. Par contre, sa barbe recommençait à pousser, il aimait être raser de près pourtant, il devra s’en occuper. Ses yeux étaient de couleurs verts olive. Beaucoup de gens disaient qu’il avait un quelque chose de britannique, ce qui l’amusait. Si seulement il pouvait confirmer ou infirmer. Il devait se préparer, alors Samuel ne tarda pas à se jeter à la douche qui sera suivit d’un petit déjeuner assez simple.

Descendant à la cuisine juste après, il portait déjà son bleu de travail, son uniforme d’agent de sécurité pour le supermarché de la ville. Il se pressa d’attraper de quoi manger et boire. Tout ceci ne lui prenait que quelques minutes, puis sortit pour aller à son boulot en voiture. Le petit matin était déjà très chaud. Normal à Hamwick, petite ville américaine du Sud. Beaucoup considérait cet endroit comme un mini Mexique. Samuel eut du mal à s’acclimater depuis qu’il est arrivé, mais maintenant, il s’y faisait à ces nombreuses journées de chaleurs qui pouvaient s’étendre presque toute l’année.

Machant son beignet en rejoignant sa voiture sur l’allée, Samuel vit un de ses voisins déjà debout et s’attelant à nettoyer devant sa maison. Depuis qu’il le connaissait, il l’avait toujours vu nettoyer chez lui. Le vigil pensa son voisin maniaque, ou quelque chose du genre. En tout cas il n’a jamais eut de problème avec lui, l’homme plus âgée de dix ans se montrait toujours courtois avec tout le monde sans pour autant chercher de fortes relations.

-Bien le bonjour Samuel.
-Bien le bonjour James. Déjà sur le pied de guerre ?
-Il le faut. On annonce des vents forts et je n’ai pas envie de voir tout le désert dans ma cours.
-Il ne vaut mieux pas nettoyer après ?
-Ca à déjà commencer, les derniers vents ont rapporter une tonne de sable ! Entre ca et les inquiétudes qu’on nous rapporte dans le pays. Vous en avez déjà entendu parler ?
-Il se passe chaque chose un millier de trucs vous savez.
-Je te parle de ces soucis de santés. On en parle de plus en plus !
-Ca vous savez les épidémies ca remonte depuis les débuts de l’humanités.
-Oui mais la on parle de zones entières touchés et confiner. Imaginez que ca arrive chez nous Samuel ?
-Hamwick est une petite ville tranquille isolé de tout.

Les deux hommes se séparèrent et Sam monta dans sa voiture. Il voyait bien ce que James voulait parler. Cela remonte il y a près d’un mois. On parlait d’une nouvelle maladie mais les cas restaient rares aux quartes coins des Etats-Unis, pas de quoi s’affoler. Puis après on parler de foyer épidémiques, de zones confinés, des rues, des quartiers, mais ca restait visiblement dispatcher. D’ailleurs, en allumant la radio, les animateurs étaient déjà en train d’en parler. A croire que cette histoire sanitaire était plus grave qu’il n’y semblait. Enfin, l’homme et la femme qui animaient étaient en plein débats pour ne pas dire s’engelaient, discutant des origines de cette nouvelles maladies et comment elle était traiter. Mais un de leurs confrères rapporta les faits.

« Actuellement nous comptons 200 cas confirmés depuis le début du mois et une centaine de décès. Nous sommes bien entendu très loin d’une épidémie, mais le gouvernement dont le gouverneur rappel l’importance de rester prudent. Nous ignorons encore comment cette maladie se propage et comment la traiter efficacement. Il est alors conseiller qu’en cas de mal de tête, de fortes toux et de températures de rester chez vous et prévenir votre médecin. Pensez bien à vous désinfecter les mains et vous laver en rentrant chez vous. Pour l’instant seul cinq états du nord sont concernés et un du sud avec une dizaines de cas. »

A nouveau, un débats fut lancé mais Samuel n’écoutait déjà plus, méditant sur les nouvelles rapportées. Il se disait aussi qu’il avait sans doute bien fait de déménager dans une plus petite ville. Loin des tracas des grosses agglomérations, des dangers qui sont souvent liés. A Hamwick, la vie était plutôt tranquille. Rien de parfait bien entendu, mais les soucis paraissaient plus tranquille. C’était à croire que ce petit monde vivait dans une bulle, coupé du reste du monde et n’avait rien à craindre des problèmes qui tourmentaient si souvent la société.

Samuel travaillait pour un supermarché de la ville, en fait le seul existant à vrai dire. Une enseigne qui vendait de tout et qui cherchait à concurrencer Walmart. Sam ne se souciait pas vraiment de l’histoire et des raisons du commerce, il avait besoin d’un travail et c’était le seul qui rentrait dans ses cordes, agent de sécurité. Il salua sur le parking quelques collègues arrivés tôt aussi, jouant avec son trousseau de clef pour rejoindre le locale de sécurité, une petite pièce d’où on pouvait contrôler les caméras de surveillance. Assis devant les écrans, se tenait une femme, bien en forme, devant avoir la cinquantaine portant le même uniforme que son collègue. Mais au lieu de fixer les écrans de surveillances, ce sont ceux d’une petite télé portatif qui attirait toute son attention.

-Salut Brande.
-Ah salut Sam bien dormi ?
-Bof, pas trop sans doute à cause de la chaleur. Et toi ?
-Rassures toi nous non plus à cause de ma mère.
-Ah ouais c’est vrai que qu’elle vient d’emménager récrément chez vous. Comment ca se passe ?
-Oh tu sais, elle va à nouveau me rendre folle. La maison de retraite ne peut plus la garder, mais je crois qu’ils ne peuvent plus la supporter surtout.
-Difficile j’imagine. Si t’as besoin tu peux me demander, comme je n’habite pas loin.
-C’est sympa Sam. Faut dire que même ma sœur à couper toute communication dès qu’elle a sut que j’allais récupérer notre maman…

« Trois cas supplémentaires ont étaient déclarés dans la ville de New-York. Peu d’images nous sont parvenues, mais les autorités ont condamnées toute une ailes pour traiter ces patients et… »

-Encore cette histoire de contamination ?
-Ouais c’est dingue. Le nombre n’arrête pas d’augmenter. Tu sais ce que je trouve vraiment bizarre ? C’est qu’à peine le premier cas annoncé, que déjà t’as l’armée et des autorités médicales qui ont débarquer et tout boucler. Et ils font ca à chaque nouveau malade.
-Ouais… Etrange en effet.

Samuel ne savait pas quoi dire, après tout il manquait comme tout le monde d’informations et préférait éviter de partir sur des interprétations précipitées.

-Trois cas à New-York, ils approchent de dix. Tu viens de New-York justement non Sam ?
-Ouais…

Le jeune homme n’en disait pas plus non plus, sauf que la, c’était un sujet que visiblement il préférait éviter.

-T’es arriver au bond moment faut croire. Imagines si t’es venu que récemment.
-La vie est faite d’actions de ce genre. Je vais me mettre en poste.
-Ca marche, je continue de surveiller ici.

La phrase de Brenda manqua de faire rire Samuel, sachant qu’elle était plutôt concentrer sur son propre écran que ceux de sécurités. Mais on disait qu’il ne se passait presque jamais rien ici, que les vols se faisaient rares. Sauf si on ne comptait pas ceux que Brenda ne voyait pas à cause de sa télé.

Cela était devenue sa nouvelle routine. Sam arrivait au boulot, il se postait à l’entrée du magasin à l’intérieur pendant la plus part du temps, faisant quelques rondes parfois ou se déplaçait quand on lui signaler un problème et qu’on avait besoin de lui pour vérifier. Avec le temps, les gens connaissaient à le connaitre et lui aussi. Il apprit à reconnaitre les habitués de l’enseigne, sympathisé avec eux, ainsi qu’avec les employés même. Ils s’échangeaient quelques politesses, prenant des nouvelles de l’un et l’autre, si tout allait bien rien à signaler. Depuis qu’il avait commencer, Sam n’avait reporter de graves incidents, il y avait quelques tentatives de vols, mais tout se réglait bien à la fin.

Faisant le tour des rayons, Samuel rencontra Felicia, une des employées. La jeune femme était plus jeune que lui, de quelques années. Les cheveux montées en queue de cheval, le visage un peu enfantin mais creusé par un acné qui a tarder à partir. Elle n’était pas désagréable à regarder, mais tout chez elle faisait penser à une enfant crédule. Ses collègues aimaient la charriés parfois se moquer. L’agent de sécurité lui, avait plutôt prit en affection la jeune femme.

-Salut Felicia comment vas-tu ?
-Oh agent Bennett… Euh je veux dire Sam. Ca va merci. Et vous ? Enfin toi ?

Elle était nerveuse en sa présence, ne pouvant pas s’empêcher de sourire. Il fallait dire que le charme de Samuel ne la laissait pas indifférente. Sam sourit afin de l’aider à se détendre.

-Ca va merci. Tout va bien par la ?
-Oui oui. Je suis occupée depuis tout à l’heure de faire des allées retours entre les rayons et la réserve. Pas vu de voleurs. Cela ne veut pas dire qu’il n’y en a pas eu… Enfin si, non y’en a pas, j’en sais rien, il est possible que pendant que j’avais le dos tournée, mais ca ne veut pas dire que…
-Ok Felicia relaxe. Il n’y a pas de raisons de s’énervé, tout va bien.
-Oui vous avez enfin t’u as raison ! Je ne sais pas pourquoi j’ai dis ca…

Si elle le savait, elle perdait ses moyens quand elle le voyait. Un vrai gros béguin, elle avait essayer de s’arranger avec son manager pour travailler presque en même temps que Bennett, mais son supérieur tenait beaucoup au planning qu’il mettait en place à chaque fois, surtout qu’il était organisé pour que lui, n’a trop besoin d’être présent.

-Et du coup tu fais quoi ce soir ? Tu finis le boulot ou… Enfin si tu termine ton service bien sûr, mais tu manges ou bien dors ? Bien sur mais je veux dire que…

-Samuel n’étant pas sur de comprendre, leva un sourcil interrogateur. Fort heureusement pour Felicia, la radio du vigil grésilla, lui sauvant la mise. L’agent décrocha pour savoir ce qu’il se passait.

-Allo Sam ? Tu peux te rendre dans les rayons conserves ? Y’a un début de bagarre apparemment.
-Ok j’y vais Brenda. Désolé Felicia il faut que j’y aille.
-Oui le devoir appel Super Sam ! Vas ! Vas sauver le monde !

Le prenant comme une taquinerie, Samuel claqua sa langue dans sa langue, la lèvre relevé pour dire ok et partir rapidement voir de quoi il en retournait.

La bagarre avait commencer à se lancer et Sam arriva peu de temps après. Un homme criait de terreur face à quelqu’un qui semblait enrager. Ce dernier avait le teint pâle et poussait des rugissements quasi animal. Samuel avait essayer der s’interposer et calmer le jeu, mais le « fou » à défaut de le nommer autrement, semblait davantage énervé par les paroles de l’agent de sécurité qu’autre chose. Finalement c’est sur lui qu’il se défoula et tous les deux se mirent à se battre. L’un essayait de le maitriser, l’autre lui arracher la peau du visage. Ce fut compliquée mais Sam était arriver à leu neutraliser, juste avant que l’armée n’arrive à ce moment là et que le jeune homme fut envoyé dans le coma.



Si tu respires, alors tu es en vie. Si tu es en vie, alors tu peux te battre

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Samuel Bennett
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Cavalier Z
 Projet écriture post apo EmptyJeu 12 Oct - 14:52
Cavalier Z
J'ai édité le premier message pour que vous ayez le chapitre 1 en entier


Si tu respires, alors tu es en vie. Si tu es en vie, alors tu peux te battre

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Cavalier Z
 Projet écriture post apo EmptyDim 12 Nov - 17:48
Cavalier Z
Chapitre 2 :

Samuel avait du mal à se remettre de ce mal de crâne. Le coup était violent et semblait persister alors qu’il était revenu à lui depuis un bon quart d’heure. Actuellement, il se trouvait dans une tente kaki, on entendait beaucoup de mouvement à l’extérieur. Assis à une table métallique, une femme très mince faisant penser à un roseau, se tenait de l’autre côté. En blouse blanche, on comprenait qu’elle était médecin ou chercheuse et que si elle était aussi maigre, peut-être négligeait-elle sa santé comme manger par exemple, au profit de son travail. En tout cas elle le mettait mal à l’aise.

-Le cachet de tout à l’heure doit faire effet.
-Je ne sais pas trop… Mon crâne raisonne encore.
-Je suis désolé du comportement de ce soldat. Il devait agir vite vu l’urgence de la situation et il est préférable qu’il vous assommes plutôt que de…
-De quoi ?
-Peu importe. Vous êtes vivant et en bonne santé d’après vos analyses sanguines. J’aimerais vous poser quelques questions sur ce qu’il s’est passé.

Samuel se cala au fond de son siège, les épaules s’affaissant.

-Très bien je vous écoutes.
-Votre nom et prénom s’il vous plait.
-Samuel. Bennett.

La chercheuse notait tout ce que disait à cet instant Samuel sans plus lui accorder le moindre regard.

-Vous êtes agent de sécurité au supermarché de la ville.
-Oui.
-Depuis combien de temps ?
-Un peu moins d’un mois, quand je suis arrivé à Hamwick.
-Et avant cela vous veniez d’où et faisiez quoi ?
-J’étais de New-York. Chez les flics.

La femme semblait hésité à écrire un moment, comme si ce qu’elle venait d’entendre l’interpelait. Sam le remarqua et se demandait en quoi son histoire était surprenante. Mais les esprits se calme quand la chercheuse reprit son interrogatoire comme si de rien était.

-Savez-vous pourquoi cet homme s’est montrer agressif ?
-Non. J’étais prévenu qu’une bagarre commençait et en arrivant ils étaient déjà aux mains. Il ne parlait pas, se contentait juste… De grogner.
-L’individu agresseur vous le connaissez ?
-Non. J’ai plutôt une bonne mémoire des visages, mais lui n’est pas un habitué du magasin.
-A-t-il blesser quelqu’un ?
-Aucune idée. Je ne pense pas mais je n’ai pas eu le temps de vérifier si tout le monde va bien, comme vos hommes sont intervenus et m’ont envoyé dans le coltar.
-Je voie. Ce sera tout pour le moment, nous allons vous garder sous surveillance encore un petit moment avant que vous puissiez rentrer chez vous.
-Me garder… Mais attendez qu’est ce qu’il se passe, qui êtes-vous ?

La femme le regarda à nouveau, ses yeux bleu faisaient peur. Aucun trait chez elle n’appelait à la sympathie, déjà que sa voix était sec, dénué d’émotions comme une machine. Samuel avait l’impression qu’à tout moment, elle l’allait le jeter aux chiens pour le faire dévorer.

-Nous sommes de la PHS.
-PHS ? C’est une crise sanitaire alors ? Depuis quand vous employez l’armée ?!
-Quand c’est nécessaire. Avez-vous entendu parler du PG-1 ?
-Non… C’est quoi ?
-Vous devez être au courant qu’une mystérieuse maladie se repends dans notre beau pays ?
-Oui on en entends parler de plus en plus. Quoi c’est ca qui arrive à Hamwick ?
-J’ai bien peur que oui. Tant que nous ne sommes pas sûr, votre ville restera en quarantaine jusqu’à ce que toute trace du virus ne soit éliminé.

Ainsi elle conclu la rencontre et demanda à un soldat d’escorter Sam jusqu’à une tente médicale où attendait déjà des dizaines d’habitants.

L’armée était arrivée très vite en ville. A peine un premier cas fut remarquer à Hamwick que des camions militaires ont déboulées dans les rues, dressés des barrages sur les principales voies et monter une palissade autour. Un camp fut rapidement monter en plein cœur occupant tout le parc publique. Des dizaines de tentes pour les soldats, mais surtout pour accueillir plusieurs médecins et infirmiers avec une zone destinée aux patients où les faire patienter. Les habitants étaient nerveux, se demandant ce qu’il se passe et ce qui allait advenir d’eux. Ceux ayant un certain recul, firent le lien avec le début d’épidémie dans plusieurs grandes villes. Personne n’aurait penser que cela arriverait chez eux.

Dans la tente de commandement, le gradé responsable donnait non stop ses directives pour que le camp soit pleinement opérationnel et s’assurer que tout le monde soit bien dans le périmètre de sécurité. Le lieutenant Lingard était un ancien militaire à la retraite. Enfin il devait l’être. Il avait servit plus d’une fois son pays à travers le monde. Mais quand il devait déposer son uniforme, sa vie lui paraissait insupportable. Pas qu’il fut hanté par ce qu’il avait vu à la guerre, mais parce que la guerre lui manquait. Il avait commençait à écrire ses mémoires, mais l’exercice l’ennuyait et c’était arrêter aux trois premiers chapitres. Quand le gouvernement à fait savoir son besoin dans l’armée pour faire face à une crise, Lingard s’était précipité pour proposer ses services, ce qu’il fut facilement accepter.

Le vieux militaire n’avait rien perdu de sa hargne. Il était tout aussi combatif et autoritaire qu’avant son départ. La chercheuse entra dans la tente sans se faire annoncer.

-Ah ! Notre amie du PHS. Alors comment se portent vos patients ?
-Lieutenant Lingard. Nous n’en sommes qu’au début, mais pour l’instant aucun autre cas n’a était déploré. Concernant le « patient » que vous avez récupérer ?
-Il est sous bonne garde enfermer dans une boîte. Personnellement, je suis partant pour qu’on l’abatte d’une balle dans la tête.
-Vous aurez bientôt ce plaisir lieutenant. En attendant nous avons besoin de lui vivant si on puisse dire. De ce que nous savons, cet homme viendrait de New-York. Et comme vous savez, la situation là-bas n’est pas des plus reluisante.
-Effectivement, l’Etat-Major vient de renvoyé encore plusieurs troupes. La ville fut mise en quarantaine que depuis quelques jours seulement.
-Il a quitté la ville juste avant et les symptômes peuvent tardés de se déclarés. Mais nous avons aussi un second, une autre personne venu de New-York il y un mois.
-Il ne doit pas présenter de danger si ?
-Possible. Mais nous devons rester prudent. Si tout se poursuit tranquillement, cette ville sera déclarée saine.
-Ce civil infecté que nous avons récupéré. C’est lui que vous surveillez ?
-Oui. Il n’est pas n’importe qui pour nous. Malheureusement, nos craintes semblent s’être confirmés. Il avait bien sur lui la souche.
-Plus que ca, il en était porteur… Dans tous les sens du terme doc.
-Oui… Espérons qu’il n’a pas eut l’occasion de contaminé qui que ce soit. D’ici quelques jours nous serons fixé et pourront plié le camp.


*****

Dans la tente commune, de nombreux habitants furent rassemblées. La population était comme triée. Après avoir passer quelques examens et un temps d’isolement, ceux déclarés sains attendaient ici mais sous bonnes gardes. Le moral semblait être bon, mais on sentait qu’à tout moment, une étincelle suffirait à embraser la foule. Car personne ne savait rien, laisser dans l’ignorance avec quelques phrases rassurantes sans plus.

Samuel venait d’entrer, découvrant ce triste spectacle où les gens attendaient debout nerveusement, ou patientaient que quelques lits et chaises laissaient à leur intention. Il avait l’impression d’assister au lendemain d’un sinistre, comme si tout Hamwick avait était balayer par une tempête. Essayant de regarder la foule, il reconnu dans un coin assise, sa collègue Brenda. La vigile portait encore son uniforme sur elle, et était visiblement contente de croiser un visage familier. Elle fit signe au jeune homme qui vint la rejoindre.

-Sam ! Ca va ?
-Oui et toi Brenda ?
-Ca peut aller. C’est dingue cette histoire non ? Les soldats sont apparus comme des fantômes. Je me souviens à peine de ce qui est arrivé. J’étais au poste de surveillance, y’avait cette bagarre. Puis les militaires ont débarqués et m’ont demander de les suivre.
-Ils ont fait ca avec tout le monde. Et ta mère au fait ?
-Ca m’inquiétait ! Je n’arrêtais pas de répéter limite, à hurler à la fin que j’avais ma mère chez moi à m’occuper. On ma juste répondu qu’on enverra un médecin la voir mais que je devais les suivres.

Samuel sentait la nervosité de sa collègue et déposa une main réconfortante sur son épaule, geste qui semblait convenir à la femme qui apparut plus radieuse qu’avant. Alors qu’elle s’apprêtait à ajouter quelque chose, une troisième voix se fit entendre derrière eux, appelant surtout Samuel. On reconnue la jeune Felicia qui se précipitait vers eux à travers la populace, elle aussi toujours en bleue de travail.

-Tu es la Sam ! Salut Brenda.
-Salut Felicia.
-J’arrive à peine à y croire, tout ca pour juste une bagarre quand même.
-C’est bien plus qu’une bagarre Felicia. La PHS est là. C’est surtout sanitaire.
-Quoi le type était malade ?
-Sans doute. Et ils semblaient intéressés que je vienne de New-York aussi. Le malade peut venir d’ici.
-Attends, intervint Brenda. Tu penses que c’est lié à cette contagions en ville ?
-Oh mon Dieu Sam ! C’est terrible et si tu avais quelque chose ?

L’homme sourit.

-Je suis la depuis près d’un mois et toujours rien.
-Mais quand même… Cela m’inquiète et j’ai peur de ce qui risque de se passer.
-Aucune crainte à avoir Felicia, ils vont soignés ceux malades et tout rentrera dans l’ordre d’accord ?
-Tu en es sur ? Je ne suis pas rassurée.

Face à son air inquiète, Bennett essaya donc de la réconforter un peu en posant ses mains sur ses épaules et elle, allant se serrer un peu contre lui, profitant de la chaleur rassurante et protectrice du corps du vigile. Brenda elle, ne pouvait pas s’empêcher de lever les yeux au ciel. L’attirance de Felicia pour Sam n’était un secret pour personne. En fait, il n’y avait que le principal intéressé qui était aveugle, ne voyant dans le comportement de la jeune femme qu’innocence. Mais la vigile ne disait rien, en réalité cette histoire l’amusait et justement, faisait un peu oublier ce qu’il se passait. C’était une bonne distraction en fait.

Mais parlant de distraction, une allait excitée les foules. Pour occupé les gens et leur faire changer les idées, une télé fut installé au coin de la tente et diffusait quelques programmes culturels qui n’enrichissaient pas vraiment l’intellect. Mais sans trop savoir par qui ni comment, la chaine changea pour venir sur les infos. Les images montraient une rue à feu et à sang dans une grande ville. Et d’après le titre écrit en noir, c’était « New-York dans le chaos ».

Tout le monde venait à tourner la tête pour voir ce qu’il se passait et chaque visage se transformait en masque d’effroi. Le présentateur essayait de garder tout son professionnalisme, mais son émoi était flagrant.

« La quarantaine du Bronx et de Brooklyn sont tombés… Comme vous pouvez le voir, les infectés sont… Sont partout dans la ville. La police… L’armée arrivent à peine à les maintenir à distances. S’ajoute à cela des pillards qui…

L’image en cours montrait une marée humaine ou ce qui en restait, foncer sur les barrages militaires dans les rues. Les soldats tiraient, même sur les quelques civils encore vivants qui essayaient de trouver refuge auprès d’eux. On entendait des cris, des pleurs, le son des balles raisonnaient comme un concert d’orages. Même les suppliques d’enfants à déchirés l’âme se faisait entendre. Le caméraman essayait de filmer le plus possible, mais par surprise comme un bon jump scare, un visage hideux, déformait se jetait sur la caméra et l’image s’arrêta la.

-Seigneur tout puissant ! New-York est entièrement contaminé, c’était près de Manhattan. Si cela ne vous dérange pas, je compte rendre l’antenne et retourner voir ma famille avant que…. »

Le plateau était plonger dans le noir. On voyait à peine la silhouette du présentateur bouger. Ce sont à nouveau des cris, des grognements. Quelque chose bougeait dans l’obscurité, on devinait le son horrible de la peur et de la chaire qu’on arrachait. Puis, plus rien.

Les habitants ayant tout vu se mirent à crier, exiger des réponses, pleurer. Les militaires essayaient de calmer tout le monde, mais leur effort était ridicule. Le chef entra d’un pas énervé, hurlant, aboyant :

-Qui à mit les infos ?!

Mais personne ne répondait, il n’y avait en retour que les suppliques des habitants pour qu’on les aides, qu’on explique ce qu’il se passait.

-Arrachez moi cette télé et gare à celui qui à changer la chaine !


La foule était nerveuse, criant de terreur sur ce qu’elle venait de voir. Le trio avec Brenda, Felicia et Samuel resta calme, mais on sentait que cette révélation les avait bouleverser.

-Mon Dieu ! New-York… Tous ces gens… Murmure Brenda. Mais que vivons nous ?
-Un cauchemar. Répondit pensif Sam.


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Cavalier Z
 Projet écriture post apo EmptyDim 31 Déc - 16:46
Cavalier Z
Chapitre 3 :

Les jours qui ont suivit furent tendues. La nouvelle que New-York était tombée avait excitée la peur des gens. Les militaires étaient toujours la. Aucun cas n’a était déclarée, mais leur présence demeure, ayant même instaurer un couvre feu. L’ambiance était électrisante. Si certains visages essayaient d’être rassurant en poursuivant une vie plus ou moins normale, la plus part des habitant se montrait de plus en plus nerveuse. Les bagarres se multipliaient, des tentatives de coups d’état contre l’armée furent rapportés, au moins une, mais ce n’était que le début.

Samuel revenait du points d’approvisionnement avec un sac remplit de vivres et de biens de premières nécessitée. Il avait vu deux hommes se battre entre eux, sans doute pour des vivres. Il a fallut trois soldats pour venir les séparer et même, les calmer de manières peu diplomate. Samuel n’approuvait pas cette violence, mais il ne pouvait rien contre des hommes armées qui eux aussi, devenaient nerveux d’heure en heure.

Il se rendit chez Brenda. La pauvre femme vivait cloitrer chez elle avec sa mère malade. Vu comment les choses évoluaient, la femme préférait rester là pour surveillée sa parente et Felicia et Sam venaient l’aider. Il entra dans un petit salon où l’attendaient les deux femmes.

-Sam merci de ton aide.
-Je t’en pries.

Brenda récupéra une partie des provisions dont elle alla directement ranger dans sa cuisine juste à côté, ouverte sur le salon.

-Je vais retourner voir maman à côté. Je ne pensais pas autant m’inquiétée pour elle. C’est comme… Comme si je m’’attendais à la voir tomber malade ou qu’un voisin devenu fou tenterait d’entrer par sa chambre.
-Ne t’inquiète pas Brenda, vas voir ta mère.

La gracieuse femme hocha la tête en signe de reconnaissance et s’en alla, laissant donc Samuel seul avec Felicia, qui était venue pour aider avec le linge de la vieille femme. Felicia souriait timidement au jeune homme, mais elle aussi était bien inquiète.

-Ca va Felicia ? S’enquit réellement Samuel. Cette intention touchait énormément son ancienne collègue.
-Oui je crois. Aider ici m’aide à me changer les idées. Mais dès que je sors…
-Ce soir tu dors chez toi ?
-Quoi ? Tu veux me proposer d’aller chez toi ?

Felicia n’avait pas put s’empêcher de sauter sur l’occasion, imaginant directement des choses et se rendant compte qu’elle s’était précipitée, devenait bien rouge de honte. Samuel aussi changea de couleur, un peu embarrassé.

-Quoi ?! Non, enfin je veux dire, il vaut mieux ne pas se balader seul, surtout la nuit. La violence ne fait que grimper en ville et on ne sait jamais.
-Tu as raison… Je crois… Je crois que je me sentirais plus en sécurité justement si tu m’accompagnais.
-Si tu veux avec plaisir.

Pas sur qu’ils comprenaient la même chose.

-Ce n’est pas à l’armée de justement veillée à notre sécurité ?
-Oui mais la ils me paraissaient aussi tendus que nos concitoyens.
-Ils ne devaient rester que quelques jours et on dirait qu’ils sont planter la pour de bon Sam. Pourquoi ?
-New-York est… Enfin je crois qu’ils sont aussi perdus que nous, et ne savent pas quoi faire.
-Oh mon Dieu Sam ce serait horrible !
-Pardonne moi Felicia, je ne voulais pas t’inquiété, je réfléchissais tout haut.

La jeune femme semblait retrouver son calme. Mais Samuel devenait de plus en plus suspicieux. Il se doutait de quelque chose. Et il était de plus en plus persuader que rien de bon n’allait arriver dans les jours qui allaient suivre. Cela se confirmera.

Le soir Brenda offrit un repas à ses deux amis. Tous les trois essayaient de se changer les idées en parlant de sujets futiles comme d’émissions de télévisions ou anecdotes familiales. A ce sujet d’ailleurs, Samuel restait très discret. Brenda parlait beaucoup et en détail de tantes, oncles et sœurs vivant sur la côte Ouest, Felicia parla de ses parents qui eux s’étaient installés dans l’Etat de du Dakota du Sud depuis qu’ils sont tous les deux à la retraite et de son frère était resté dans l’Iowa. Les deux femmes restaient proches des leurs, se voyant souvent en famille pendant les fêtes et prenant souvent des nouvelles. Samuel par contre, restait très mystérieux de son côté. Il se contentait de dire que sa famille vivaient loin, principalement à New-York ou ailleurs mais qu’il n’était, contrairement à elle, rester en contact. Felicia était très curieuse, insistant un peu pour en savoir plus, sans doute l’envie de découvrir les secrets de l’homme qu’elle aimait. Mais Brenda quant à elle, sentait que la question dérangeait son collègue et amis et vola à son secours en rebondissant sur un autre sujet plus absurde.

Le repas se termina dans la bonne humeur et comme promis, Samuel raccompagna Felicia chez elle à pieds. Bien qu’ils gardaient frais les souvenirs amusant de la soirée, la ville sombre autour d’eux leur rappelait leur triste situation. Avant, l’endroit restait agréable, on s’y promenait sans crainte, les rues étaient éclairées et les rares passants croisés vous rendait souvent un sourire agrémenté d’un bonsoir. Mais maintenant, tout paraissait angoissant avec ces tentes dressées, cette palissade qui coupait la ville du monde, et ces projecteurs aux quatre coins de la ville dont on se demandait qui les militaires surveillaient. L’armée disait-on, était la pour protégée les civils, mais ici elle donnait plutôt l’impression d’être la pour surveiller les habitants. Felicia frissonna.

-Je n’ai rien contre l’armée. Mon oncle était sergent et un type en or. Mais la ils m’inquiètes un peu.
-Je peux comprendre. On ne reconnait plus Hamwick. On dirait plutôt un camp de réfugiés.
-J’imagine que tu n’imaginais pas te retrouver comme ca en partant de New-York Sam.
-Personne ne devait se l’imaginer.

Felicia se rapprocha de Sam, attrapant son bras pour se coller à lui, ce qui surprit le jeune homme mais ne fit rien pour la repousser.

-Excuses moi, j’ai juste besoin d’être rassurée. Tout ceci est tellement inquiétant.
-Ce n’est rien Felicia, je ferais ce que je peux pour te rassurer.

Elle avait bien une petite idée en tête, mais la jeune femme préféra se la garder pour elle et se tue en se mordillant la lèvre.

-En réalité je crois que c’est davantage toi qui me rassure que ces soldats. Sans toi je me sentirais perdue…

Sam sourit.

-Allons, ne te tracasse pas comme ca. C’est gentil, mais je pense qu’un soldat sera plus efficace que moi pour te protégé en cas de problème.

Felicia fit de grands yeux. Elle essayait de faire comprendre quelque chose au jeune homme, mais ce dernier soit avait il compris et cherchait-il à refuser poliment en la ménageant, ou bien ne voyait-il vraiment rien aux sentiments aux sentiments de sa collègue. D’un côté ca lui plaisait d’imaginer Samuel aussi naïf, cela le rendait plus « mignon » à ses yeux, mais elle espérait qu’un jour il comprendrait et surtout, se montrerait ouvert à ses attentes.

Tout à coup, des cris se firent entendre non loin. Sam alerter, pressa le pas pour aller voir, suivit de Felicia toujours accrochée à son bras, effrayée par ce que cela pouvait être et trouvant comme seul réconfort Sam. L’origine des hurlements venaient d’une des maisons à côté. Devant se trouvait un gros camion militaire garer, le moteur qui tournait. Les lumières dans l’habitation étaient allumées et on entendait des cris étranges, des voix graves qui hurlaient des ordres. Les quelques voisins sorties pour voir, pensaient certainement à une arrestation mais furent détromper quand des coups de feu furent tiré ce qui choqua tout le monde. Puis, ce fut des pleures qui raisonnaient dehors et quelques instants après, les soldats sortaient en portant deux gros sacs noirs longs jusqu’au camion. Des sacs mortuaires. Un des militaires fit de grands gestes devant les spectateurs leur ordonnant de rentrer car c’est le couvre feu pour rappel. Horrifiée, Felicia cacha sa bouche comme pour masquer ses cris muets de terreurs.

-Oh mon Dieu Sam ?! Qu’est-ce qu’il se passe ici ?!
-Allez viens, on ferait mieux de ne pas rester la, rentrons.


*****

Dans la tente laboratoire, Lingard rentrait sans se faire annoncer pour revoir la médecin en cheffe. Elle était penchait sur un microscope et réagissait à peine en voyant le vieux gradés venir à sa rencontre.

-Lieutenant Lingard, que me vaut cette visite ?
-Nouveau cas confirmé. Malheureusement on a dû abattre les deux infectés.
-Je voie. La survie de vos hommes avant tout. Sait-on comment ils ont était infecté par le patient zéros de la ville ?
-Pas encore, on a juste répondu a un appel de détresse.
-Bien, c’est une petite ville de campagne ici. Tout le monde se côtois tous les jours ne l’oublions pas. Chaque habitant est peut-être porteur.
-Une chose que j’ai du mal à comprendre docteur. Pendant quelques jours tout semblait normal et la d’un coup, des cas se déclare un peu partout comme sans raison.
-Rien n’est jamais sans raison lieutenant. Le temps d’incubations n’est… Pas bien connu encore.
-Quoi ?! Cela veut dire qu’on peut attendre des mois, voir toute une vie pour en être sur ?
-N’exagérez pas. Le temps maximum observé est d’une semaine. Tant qu’on aura des cas, il faudra donc rester et contrôler.

Le vieux militaire devenait plus sombre physiquement, un voile d’inquiétude recouvrait sa face.

-J’ai d’autres mauvais nouvelles. Le camp « Breakdown » qui est le plus proche d’ici n’a plus donner de nouvelles. Il a était compromis et il n’est pas le seul. Cette saleté s’est rependu partout, presque plus aucun Etat n’est épargner.
-Alors c’est pire que ce que nous pensons.
-Nous avons réduits l’accès à internet et fait sauter plusieurs chaines de télévisions. Je n’aime pas ces solutions pragmatiques et dictatorial mais…
-Il faut éviter que la population panique. Situation désespérés…
-Tout a fait. En tout cas, la chose que j’avais le plus peur, fut que des pays hostiles en profites de notre situation. Mais ils ont peur d’envoyés leur armée se faire contaminée aussi et on relève certains cas de contagions en Afriques et en Europes.

La chercheuse recula sur sa chaise, le regard perdu dans le vide prenant conscience de ce qu’on lui annonçait.

-Mon Dieu… Nous ne contrôlons plus rien… Cette chose est incontrôlable.


Si tu respires, alors tu es en vie. Si tu es en vie, alors tu peux te battre

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